Avez vous remarque,
le vieux monsieur
portant chapeau à rebord,
suivant de l'oeil,
les plaisanciers
circulant en contrebas?
Voici, une deuxième chance,il est bel et bien là,
et il est très attentif
à ce qui se passe au pied du rocher.
Bon, que surveille-t-il celui là?
Ok, je vois, il a choisit une bonne table,
surement qu'il se régalera, si les convives
lui en laisse un peu...
Il ne prend pas de chance, il scrute les alentours,
juste au cas où...
J'aime le contraste... Entre les tout petits bateaux (peut-être pas si petits que ça, c'est une illusion d'optique) et ces rochers escarpés qui apparaissent gigantesques en comparaison. Et cet oiseau qui voudrait bien se faire inviter chez La Morutière fait bien de regarder ailleurs pour sa pitance, d'après moi, y a pas de chance de partager la table des touristes!!!
RépondreEffacer@ Zoreilles,
RépondreEffacerPetits les kayaks filant devant le rocher percé,
ce rocher gigantesque,
je me rappelle de l'émotion que j'ai ressenti,
en 1972,
année où je l'ai rencontré pour la première fois,
j'en suis tombé amoureux du coup.
Comme je passais l'été à Percé,
y jouant au théâtre, une création d'une amie,
j'ai pu courtiser le rocher
tout à mon aise, je lui ai même chipé
un de ses cailloux que j'ai conservé
longtemps, très longtemps,
puis un jour, le cailloux a disparu .
Le goéland, c'est bien sur ailleurs qu'à la Morutière
qu'il a réussit à se sustenter.