19 octobre 2015

Sortie côté cour ou côté jardin

De ce temps là,
à ce que je vois,
elles passent leur temps 
à s'empiffrer.
Elles se font des réserves
pour affronter
les froidures
de l'hiver Gaspésien.
 Des chasseurs me demandent ,
vois tu du gibier
sur ton lot?
                                                                             Mais non
que je réponds.
Un fou, 
je vais leur ouvrir
comme ça, bêtement
le garde manger...

6 commentaires:

  1. Oh la belle tite poulette! Promis juré, je dis pas un mot moi non plus!

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  2. @ Zoreilles,
    Le silence est d'or et
    garde les chasseurs de perdrix dehors.
    Pour être franc, elles sont trois,
    présentées l'une à la suite de l'autre
    dans ce court métrage..

    À chaque rencontre, c'est plus fort que moi,
    je m'amuse à leur tirer le portrait,
    une véritable obsession,
    m'imaginant,
    que la prochaine photo
    sera encore meilleure
    que les précédentes.

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  3. Elles sont déjà toutes bonnes, tes photos et tes vidéos mais je comprends très bien que tu ne puisses résister à leur tirer le portrait. D'abord, ça leur fait même pas mal... ensuite, à toi et à nous tous, ça fait même le plus grand bien.

    Merci de nous avoir payé la traite encore une fois!

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  4. Elles picorent, picorent et picorent encore puisque tu le dis elles sont trois. À revoir lors de la fin de notre long hiver pour espérer encore recevoir cette lumière à travers les feuilles restantes, et apprécier la paix que cela procure.

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  5. @ Zoreilles,
    C'est je trouve la manière la plus amusante de récolter du gibier.
    Tu tires à volonté,
    tu récoltes sans réserves,
    et lorsque tu en as plein ta besace,
    tu rentes à la maison
    pendant que le gibier
    continu à vaquer à ses occupations.

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  6. @ Géraldine Fortin,
    C'est toujours la surprise ,
    quand au printemps
    nous faisons notre première visite au paradis,
    de rencontrer nos bonnes amis,
    les gélinottes.
    C'est comme un rayon de soleil printanier.
    Alors, nous savons qu'elles ont survécus à l'hiver
    et c'est le coeur léger que nous entrons dans l'été.

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